office de chancellerie et le dit eveche furent vacans, tantot le roi
d'Angleterre, par l'information et priere du
dit Wikans., escripst au due de Bourbon,1 qu'il
voulsist tant pour lamour de lui travailler, qu'il allat devers le
saint pere le pape Urbain, pour impetrer pour son chapelain
l'eveche de Wincestre, et il lui seroit courtois a sa prison. . .
.
"Si se partit le dit duo a son arroy, et
exploita tant par ses journees qu'il vint a Avignon, ou le pape
Urbain pour le temps se tenoit. . . . Auquel saint pere le due de
Bourbon fit sa priere, a laquelle le pape descendit, et donna au
dit duc l'eveche de Wincestre, pour en faire a sa volonte,
et sil trouvoit tel le roi d'Angleterre qu'il lui fut courtois et
aimable a sa composition pour sa delivrance, il vouloit bien que
le dit Wikans eut le dit eveche'. Sur ce retourna le due de
Bourbon en France, et puis en Angleterre, et traita de sa
delivrance devers le roi et son conseil, aincois qu'il voulut
montrer ses bulles. Le roi, qui moult aimoit ce Wikans, fit tout
ce qu'il voult, et fut le dit due de Bourbon quitte' de sa prison.
Mais encore il paya vingt mille francs, et messire Guillaume
Wikans demeura eveque de Wincestre et chancelier d'Angleterre."2
This passage from Froissart at once explains
the studiously mysterious terms of our letter, which, in return,
supplies resistless evidence of the truth of the chronicler's
assertion. I had intended entering more fully into the dissection
of Wykeham's letter, but my friend Mr. Wykeham Martin having
kindly promised to contribute an article on the subject, I leave
it in his able hands to complete the elucidation.
L. B. L.
1 He was at the
time in France, on his parole, " par grace que le Roi lui
avoit faite, il retourne" en France."
2 Vol. i. liv. i. cnap.
cclviii. f. 562.
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